L’embrasement du destin
Florence s’éveillait marqué par un ciel voilé de cendres. Le Grand Bûcher, consumé du même pas la nuit, laissait après lui une place recouverte d’un manteau de suie. L’odeur persistante du feuille brûlé flottait à nouveau dans l’air, abordant aux habitants la assainissement imposée par l’Inquisition. Mais au-delà des cendres,